de l'intérêt que vous portez à mes photographies.
Sérendipité, parfois, il faut se perdre pour trouver ce que l’on ne cherche pas.
Ses photographies sont celles d’un contemplatif opportuniste, où l’esthétisme l’emporte sur le documentaire.
Le seul but étant de partager ses émotions, et de révéler sa vision du monde. Des pointes d’humour, ou de décalage sont quelquefois saupoudrées de-ci, de-là.
Il est né dans le sud de la France. Une région où la couleur prend sa source dans la lumière. Tardivement, il s’éprend de la photographie lors de son premier voyage.
Les essais, les tentatives, les recherches lui permettront d’exprimer puis de stimuler sa créativité. Toujours en cours d’apprentissage depuis sa mise en inactivité professionnelle, Alain verra la vie en couleurs et en cadeau ! L’humour, l’anecdotique, l’anachronisme restent très présents dans son parcours.
En 2005, il reprend son appareil, après 25 ans de pause, pour réaliser son désir profond : photographier. Il met alors toutes ses compétences et ses influences en synergie, pour capter les sources de lumière, de vibration, d’émotion croiser au coin de la rue ou ailleurs. Il choisit définitivement le beau, la douceur plutôt que la violence par optimisme, laissant libre, le spectateur de prendre le temps d’apercevoir les filigranes, de lire entre les lignes.
Dans son portfolio, vous trouverez essentiellement des scènes de vie toujours travaillées dans cette minutie extrême qui soulève une soudaine envie d’examiner l’œuvre de plus près, fragment par fragment, d’en dénicher le secret, de la faire sienne, de se laisser emporter, de laisser remonter l’émotion qui éveille les sens et qui captive.
Son travail s’organise autour de phases picturales qui se succèdent, mais c’est l’année 2016 qui verra ses débuts publics, première exposition à Cavalaire pendant les deux mois d’été, finaliste du Festival PhotoMenton, premier prix photographique du 34e festival des arts de la ville de Cavalaire.
Alain s’inspire des maîtres de la photographie. Les codes graphiques de Brassaï, les instants de vie de Doisneau, Cartier-Bresson ou de Ronis influencent sa photographie même si celle-ci est la plupart du temps en couleurs. Il est très attiré par René Maltête ou encore les couleurs et les compositions de Steeve McCurry. Il est aussi influencé par la peinture, surtout par la liberté qu’elle s’autorise.
Alain pense que lorsqu’on donne de ses connaissances, on ne perd rien, mais on multiplie son savoir, il anime un club depuis 2013, et des ateliers avec
« Les Clichés de l’Aventure », destinés aussi bien aux enfants qu'à des adultes ou encore des personnes en situation de handicap.
Le but intrinsèque est d’apprendre de l’expérience des autres et de partager au travers de l’organisation d’expositions et de rencontres photo annuelles.
Des images simples pour des souvenirs forts.
Je vous invite à faire ce premier pas vers vous…