J'étais dans Phuket Town, dans le quartier sino-portugais qui est en pleine mutation. Il y avait une vielle maison d'un côté de la rue et en vis-à-vis une façade ultramoderne. Je trouvais intéressant de mettre dans la même photo ces deux aspects de La Thaïlande. Il m'est venu l'idée de me servir d’une technique utiliser en argentique, la double exposition. De ces essais successifs, de ces échecs, nombreux, l'idée est née de créer ces témoignages où s'écriraient les images d’aujourd’hui, laissant en filigrane les images du passé.
"L'oubli n'étant autre chose qu'un palimpseste. Qu'un accident survienne, et tous les effacements revivent dans les interlignes de la mémoire étonnée." (Victor Hugo,Homme qui rit).
J’aime bien cette idée d'interligne, de brouiller pour mieux découvrir, de forcer à prendre le temps, ce luxe moderne, pour jouer avec les apparences, pour entrevoir des images furtives, pour voyager sur les différents plans… (photographiques), et ainsi créer votre rêve, ou raviver les souvenirs de votre paradis, ou en créer. De parcelles de mémoire, Jean-Paul écrivait: "Le souvenir est le seul endroit dont on ne puisse nous bannir."
"L'oubli n'étant autre chose qu'un palimpseste. Qu'un accident survienne, et tous les effacements revivent dans les interlignes de la mémoire étonnée." (Victor Hugo,Homme qui rit).
J’aime bien cette idée d'interligne, de brouiller pour mieux découvrir, de forcer à prendre le temps, ce luxe moderne, pour jouer avec les apparences, pour entrevoir des images furtives, pour voyager sur les différents plans… (photographiques), et ainsi créer votre rêve, ou raviver les souvenirs de votre paradis, ou en créer. De parcelles de mémoire, Jean-Paul écrivait: "Le souvenir est le seul endroit dont on ne puisse nous bannir."
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